Bien manger, c’est bien plus que remplir son assiette.
C’est nourrir son énergie, son moral et ses performances.
Ici, pas de régime miracle ni de frustration inutile, mais du bon sens, de la couleur et un peu de chocolat
(parce que la vie est trop courte pour s’en passer).
Depuis 2009, quand je me suis mise sérieusement au sport et surtout à la course à pied, j’ai commencé à m’intéresser de près à tout ce qui touchait à la nutrition.
Disons-le franchement : courir, c’est bien, mais courir avec de l’énergie et sans se sentir comme une pile à plat, c’est mieux !
Très tôt, j’ai compris que « nous sommes ce que nous mangeons ». Autrement dit : si on se nourrit n’importe comment, on ne peut pas s’attendre à fonctionner comme une Ferrari.
L’alimentation est notre première médecine ou au minimum une arme redoutable pour rester en bonne santé.
J’avoue, j’ai toujours eu un petit penchant (ok, un gros) pour les légumes. Même ado, j’étais plus “gratin de chou-fleur + salade croquante” que “hamburger-frites dégoulinant”.
(Oui, je sais, ça fait bizarre dit comme ça… mais je vous assure, ça existe, pis mon péché mignon, ce sont les flûtes au sel donc voilà)
Résultat : je me suis vite retrouvée flexitarienne, mangeant un peu de viande en famille ou entre amis, mais préférant naturellement les assiettes colorées et végétales.
Par curiosité, j’ai testé à peu près tous les régimes à la mode :
cru, cétogène, paléo, sans gluten, sans lactose… bref, j’ai été mon propre cobaye. Verdict ? Intéressant, mais pas toujours vivable au quotidien.
Lors de ma formation de coach, j’ai suivi un cours de nutrition hyper carré, basé sur le trio glucides/protéines/lipides. Passionnant en théorie mais dans la vraie vie, difficile à appliquer quand on veut juste retrouver un équilibre alimentaire sans se transformer en calculatrice sur pattes.
En 2015, un stage avec Olivier Bourquin a été une révélation.
J’y ai découvert la chrono-nutrition et la micronutrition :
comprendre quand manger quoi, selon son rythme et son activité. (Spoiler : ce n’est pas forcément une bonne idée d’engloutir un gâteau au chocolat avant d’aller dormir. Dommage, je sais.)
Depuis, j’accompagne celleux qui veulent retrouver le plaisir de jolies assiettes saines et gourmandes. Mon credo est simple :
80 % de bons aliments, pleins de couleurs et de nutriments et 20 % de craquages, parce que la vie sans chocolat, franchement, ça serait trop triste.
Pour moi, le vrai équilibre repose sur trois piliers indispensables : bien bouger, bien manger et bien dormir.
Ajoutez à ça une bonne dose de plaisir, et vous obtenez une vie pleine d’énergie… et de sourires !
